Les 5 façons les plus cools et hallucinantes de pouvoir vivre, étudier, travailler à l'étranger - The DreamCatcheuse
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Les 5 façons les plus cools et hallucinantes de pouvoir vivre, étudier, travailler à l’étranger

Ce n’est plus un secret pour personne, le voyage est mon plus grand fantasme. J’ai commencé assez jeune à pouvoir voyager en faisant des séjours linguistiques à l’étranger tous les étés ou en suivant mes parents en voyage aussi bien dans de splendides hôtels qu’avec un sac (de parapente) sur le dos.

Ayant toujours été première de la classe dans les cours d’anglais (on se reparlera des maths une autre fois hein), j’ai une aisance naturelle avec ça, ce qui m’a épargné ce qui peut être pour certains un frein ou un handicap. Parler anglais, c’est pas mal la clé de tout quand on a le goût de voyager. Il n’est jamais trop tard pour s’y mettre et les portes que cela ouvre sont assez dingues.

Si toi aussi tu as la valise qui démange et que tu rêves de vivre une expérience à l’étranger, laisse moi te lister les 5 façons pour partir vivre, travailler ou étudier à l’étranger qui sont selon moi les plus cools-incontournables-hallucinantes :

Voyager et partir en Erasmus

Si on exclut les séjours linguistiques que j’ai faits un peu partout en Grande Bretagne et aux USA quand j’étais plus jeune, c’est pas mal ici que tout a commencé. Troisième année d’école de commerce, la possibilité de partir vivre 1 ou 2 semestres à l’étranger grâce au programme Erasmus (c’est le nom donné au programme d’échange d’étudiants et d’enseignants entre les universités et les grandes écoles européennes).

J’ai choisi d’aller passer une année entière à Copenhague, au Danemark. C’était une expérience absolument inoubliable, très semblable au film « L’auberge Espagnole », revisité à la sauce smørrebrød, (là où tu passes les 2/3 de ton temps ivre sur ton vélo volé) sauf qu’au lieu de s’y promener en robe toute l’année on y porte des bottes et des gros manteaux car il neige, et pas qu’un peu.

À Copenhague, pratiquement tout le monde parle anglais et dans l’université dans laquelle je suis allée étudier, tous les cours et examens étaient en anglais. Il est certain que ça m’a aidé à acquérir un vocabulaire anglais adapté au commerce international et au marketing ainsi qu’à développer une plus grande fluidité dans les échanges du quotidien, mais on ne va pas se mentir : je garde surtout un sacré souvenir des amis que je m’y suis faite ainsi que de nos soirées. (et des très beaux danois.)

De retour au bercail, l’expérience n’est pas perçue comme éphémère : c’est le début de belles amitiés avec des jeunes de toute l’Europe qui se sont tissées et poursuivies pour ma part (et celles de mes amis proches). C’est définitivement une expérience à vivre si vous en avez l’opportunité.

Voyager et partir en PVT (permis vacances-travail)

La réputation de ce permis de travail que certains appelleront ‘Saint Grââl’ n’est plus à faire. Pour la plupart des destinations, la démarche est assez simple : on remplit des formulaires, on paie son visa, on paie une assurance et on fournit la preuve qu’on a suffisamment de fonds pour pouvoir subvenir à nos besoins sur place. Pour la plupart de ces visas, on peut présenter sa demande n’importe quand au cours de l’année et on reçoit la réponse très rapidement (sauf pour le Canada, c’est une autre affaire).

Les Français peuvent partir en PVT dans 8 pays : l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, la Russie, le Japon, la Corée du Sud, l’Argentine, Hong-Kong, et bientôt le Brésil.

C’est ce permis qui m’a permis de venir m’installer à Montréal. J’ai l’impression d’avoir appartenu à la dernière « cuvée » pour laquelle il était réalisable d’avoir son PVT Canada quasiment à coup sûr. Désormais, c’est la foire d’empoigne pour l’obtenir : on ne peut s’inscrire qu’une fois par an, on a un seul jour, une seule heure et désormais à peine une seule minute pour décrocher son ticket, alors je me sens vraiment chanceuse d’avoir eu le mien avant ça. Pour ceux qui veulent quand même partir, il y a l’embarras du choix parmi des destinations de rêve. Ma meilleure amie, Gaëlle, est partie il y a un mois pour l’Australie. Si vous voulez suivre ses aventures, ça se passe par là.

L’Australie, l’Argentine, le Brésil, le Chili ou bien encore le Japon sont des destinations qui me plairaient énormément. Un jour, qui sait… (j’y songe).

Toutes les infos sont sur PVTistes.net

Voyager et partir pour une mission humanitaire

Ça fait un moment que j’y pense et que j’ai envie de vivre cette expérience, contribuer au bien être d’une population en besoin, au développement d’un village, à l’éducation de jeunes que cela pourrait aider à avoir une vie meilleure, bref, apporter ma pierre à un édifice « utile », faire quelque chose de concret et de bénéfique pour des gens qui en ont besoin. Les sites Web pour se renseigner et pour partir sont nombreux mais la démarche n’est pas des plus simples. Ne part pas en mission qui veut, et surtout, ce type de projet a un coût très élevé pour celui qui part (ce que je trouve dommage et décourageant pour ceux qui sont prêts à donner de leur temps et de leur énergie pour aider les autres au lieu d’aller se mettre les doigts de pied en éventail sur un transat’, ce qui coûte finalement 2 fois moins cher). Néanmoins, si certain(s) parmi vous en ont fait l’expérience et ont un organisme à recommander, je serais ravie d’avoir vos témoignages et conseils!

Voyager et travailler en tant que digital nomad

Pour tous les mordus de voyage qui peuvent exercer leur métier à distance avec pour seuls besoins l’accès à une prise de courant pour charger ses appareils ainsi qu’une connexion internet, c’est un peu le job de rêve. Pas de tout repos pour autant, on travaille quand même, mais on peut potentiellement le faire les pieds dans le sable. Il faut aussi être capable de bien aménager son temps et de différencier les moments pour travailler de ceux pour relaxer et ceux destinés à jouer les touristes.

Dans le fond, c’est pas mal ce à quoi j’aspire à moyen terme : pouvoir exercer mon métier à distance et en vivre. J’y travaille, j’y pense, je décroche des petits contrats et des partenariats ici et là, et j’ai bon espoir qu’un jour ou l’autre je pourrais faire ça 🙂

Pour ceux que ça intéresse, j’ai trouvé cet article sur le sujet très intéressant.

Être le grand gagnant du Great Global Adventure d'AXA et voyager toute une année

…comme William Moore.

Ce dernier paragraphe est réservé aux plus ambitieux et rêveurs d’entre vous. En effet, AXA offre aux étudiants et diplômés d’enseignement supérieur de participer au plus incroyable des concours : Le Great Global Adventure. Le prix à remporter ? Une année entière autour du monde, tous frais payés. L’heureux élu voyage pendant 8 mois et réalisera 2 stages de 6 semaines, payés, dans les bureaux d’AXA de 2 pays différents ainsi qu’une expérience de bénévolat. En gros, la totale : la farniente, la découverte, la B.A., le super stage de rêve et une carrière professionnelle qui commence plutôt à merveille.

Cette année, le gars dont je voudrais prendre la place s’appelle William Moore et il vient d’Angleterre. AXA l’a aidé à organiser son projet pour l’année selon ses envies et prend en charge tous les frais de déplacement, logement, et de la vie quotidienne. Merci AXAAAAAAAA. William a commencé son voyage en septembre 2015 et prévoit de visiter – entre autres – Hong Kong, la Chine, la Mongolie, la Russie, l’Indonésie avant d’arriver en Océanie et en Amérique du Sud. On peut même suivre ses aventures sur Facebook et Instagram!

Pour participer, il faut tout d’abord répondre à des questions de culture générale et résoudre des énigmes posées pour chacune des 9 destinations du jeu. Les 30 meilleurs joueurs de chaque région (l’Europe, les Amériques, l’Afrique et le Moyen-Orient, et l’Asie-Pacifique) peuvent ensuite concourir pour le prix régional. Ils passent ensuite par un processus de sélection via une entrevue vidéo ainsi qu’une entrevue téléphonique sur un ensemble de critères préétablis.

A la fin, les 4 gagnants de chaque région sont invités à passer une entrevue dans les locaux AXA de leur pays et le grand gagnant de l’aventure peut remercier chaleureusement ses amis, sa famille, et tous ceux qui ont cru en lui parce qu’il s’apprête à vivre une copieuse aventure et est officiellement l’étudiant le plus chanceux de l’année!

Plus de 25 000 étudiants de 221 pays et territoires ont participé, autant dire qu’il vaut mieux avoir un sacré esprit de compétition et une bonne étoile mais qui sait… En tout cas, j’en connais un qui s’apprête à passer une sacrée année. Faque…William, si tu passes par Montréal, j’aimerais ça que tu me jases de ton voyage qui rend les étudiants du monde entier jaloux. 🙂

Et vous, où et comment comptez vous partir?

maryne

Cet article est rédigé en partenariat avec AXA.

 

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